Le texte qui suit est un test d’écriture automatique. Écrit à 1h30 du matin, en pleine insomnie. Il y a une fin, mais j’avais l’impression de pouvoir en écrire des kilomètres, cerveau directement branché sur l’infosphère. Je me fais penser à du De Groodt version bébé.
Bref, ça m’a fait marrer, je le mets ici pour la postérité.
Pressé, presse c’est, citron pressé, citron pression, presse citron, jus a bu à boire boire le citron noir, à manger aussi, l’écorce est amère, l’écorce c’est ta mère, ta mère l’écorce, ta mère elle est Corse ? Ah bon, je savais pas. Je savais point. De croix. De croire. De savoir. De qui et pourquoi, de faire tapisserie, après tout, un tapis et une souris, tapie elle aussi, dans les mailles, du filet, la maille, ça me va, il n’y que maille qui m’aille, vieille pub, vieille pute, la pub se vend comme une pute sur l’autoroute, de l’information, de l’informatique, et des tics j’en ai. J’ai eu des tiques aussi, dangereux, boivent le sang des autres, vampire, psychique, métaphysique, comme dans l’au-delà où elle t’envoie, où elle t’envie si ça se trouve, et t’en vie bien. A ce que je vois. A ce que je bois, tu veux ? Du vin ? T’as envie ? Des variations sur le si ? Bémol ? Tu peux. Mettre un bémol. Sur tes envies. Après tout qu’importe, ferme la porte, faut que ça sorte, pas que ça rentre. Trop de choses en dedans, pas en dehors, en dehors c’est trop compliqué et puis c’est sale. Faire le mal, faire le mâle, rouler des mécaniques quantique, cantique rien à voir avec les tics et les tocs, cantique chanter dans les églises, pleine de monde, ah ça en fait du monde en fait. En fête. Qui font la fête et s’amuse entre eux, enfermés dans leur tête, à mirette, muette, forte, fortissimo grosso dondon, dindon poilub, plumu, plus vu. Je vois plus rien c’est pas grave parce que c’est la fin.