Orlanth

Café-rôliste S02E04 avec Wilhem Horn

Aujourd’hui, nous buvons du thé avec Wilhem Horn, créateur, notamment, de la fiction audio star wars Les Chroniques Galactiques.

Nous parlons évidemment de fictions audio, de ses projets en cours, de métal (la musique), de son rapport au jeu de rôle et à la création et même de dessins animés des années 80.

N’oubliez pas, si vous aimez, n’hésitez pas à partager, et si vous n’aimez pas, n’hésitez pas à partager aussi.


Les liens

Naheulbeuk

Deadlands

Shadowrun

Vampire

François TJP

Mastodon

Clément Viktorovitch

Captain popcorn – Jdr

Mireille Dumas

Noosphere

Geekmag

Gloryhammer

Fear factory

Marylin Manson (Bowling for colombine)

Duke Nukem Forever (Musique Megadeth)

Quake 2 musique Rob Zombie

Okilly Dokilly

BraveStarr

Diffuser un flux vidéo avec OBS vers un serveur RTMP privé pour diffusion sur une TV connectée

Je regarde très peu la télévision, préférant de loin utiliser les services de streaming comme Netflix ou parfois Amazon Prime, ainsi que quelques vidéos de vacances. Lorsque je regarde une émission, j’utilise Molotov qui, dans sa version gratuite, ne permet pas de regarder TF1 ou M6. Ce qui n’est pas un mal de toute façon. Mais hier je voulais regarder une émission sur TF1. Je souhaitais la regarder sur mon grand écran alors je me suis servi de ce prétexte pour monter l’infrastructure que je m’apprête à décrire.


Setup initial

Mon installation initiale comprend les éléments suivants.
Il est possible de mutualiser certaines fonctions.

Hardware

  • Une TV connectée possédant l’application VLC (ou tout autre appli permettant de lire un flux réseau RTMP). J’utilise une Nvidia Shield (un boitier Android TV).
  • Un PC sous Windows pour récupérer le flux de TF1 via Captvty.
  • Un serveur Linux (mon miniPc Mele Quieter qui me sert à tout).

Software

Captvty

C’est un logiciel, uniquement sous Windows même si certains hacks permettent de le lancer sous d’autres systèmes, qui permet de lister l’intégralité des émissions accessibles en replay sur la plupart des chaînes françaises.

Il permet aussi, en faisant un clic droit sur le nom d’une chaîne, de la regarder en direct.

Captvty me servira ici de source de flux vidéo, mais on pourrait utiliser n’importe quoi.

OBS

C’est le logiciel de streaming le plus populaire actuellement. C’est une sorte de banc de montage qui permet de préparer des scènes à diffuser par exemple sur Twitch.tv ou Youtube. On peut récupérer des flux vidéos, des images fixes, des overlays, mixer l’ensemble, ajouter des filtres, bref, c’est très puissant.

Nginx-RTMP

Nginx est un serveur Linux ultra léger, très facile à installer et à configurer, qui peut servir des pages Web, faire reverse proxy et qui dispose dans notre cas d’un module RTMP trivial à configurer.

Je l’ai installé sur mon boitier, mais je suppose qu’on peut aussi faire une machine virtuelle légère (genre un truc sous Alpine), un docker ou même passer par le WSL de Windows. Je n’ai pas encore testé ces solutions.

Mise en place

Nginx-RTMP

Personnellement je suis sous Ubuntu, il faut adapter les commandes d’installation si vous possédez une autre distribution.

Installation

Ouvrir un terminal puis :

  • sudo apt update
  • sudo apt install libnginx-mod-rtmp

Configuration

Toujours dans le terminal

  • sudo nano /etc/nginx/nginx.conf

Ajouter le bloc suivant à la fin du fichier :

rtmp {
        server {
                listen 1935;
                chunk_size 4096;

                application live {
                        live on;
                        record off;
                }
        }
}

Quitter (CTRL+X) en sauvegardant (Y).

Relancer le serveur

  • sudo systemctl restart nginx

C’est vraiment la config minimale, il n’y a pas de sécurité, pas de transcodage, le flux est transmis tel quel.

! Attention ! Ayant déjà un serveur web sur ce boitier, il a fallu que je change les ports d’écoute de nginx pour autre chose que le 80 qui était déjà pris. Sinon le service refuse de se lancer.

Captvty

  • Télécharger et décompresser le logiciel quelque part, par exemple sur le bureau.
  • Lancer l’exécutable captvty.exe
  • Faire un clic droit sur la chaîne TV puis Visionner <chaine> en direct

Si tout se passe bien, une fenêtre s’ouvre et diffuse un flux vidéo.

OBS

Installation

  • Installer et décompresser OBS quelque part, par exemple le bureau
  • Lancer l’exécutable obs64.exe

Configuration

  • Dans les sources, ajouter Capture d’une fenêtre et Audio du bureau
  • Dans les paramètres de la capture de fenêtre, sélectionner la fenêtre qui diffuse la chaîne.
  • Enfin, dans les paramètres de Flux d’OBS,
    • choisir Personnalisé
    • Indiquer l’adresse du serveur RTMP
    • Choisir une clé (j’ai mis test)
  • Enfin, lancer le stream

Si OBs ne dit rien, c’est que le flux est diffusé.

Reception

Depuis un ordinateur branché sur le réseau, depuis un téléphone (s’il dispose de VLC), ou directement depuis la TV :

  • Lancer VLC
  • Ouvrir un flux réseau
  • Indiquer l’adresse du serveur RTMP sous la forme
    • rtmp://<adresse ip>/live/test

live, c’est le nom du service RTMP (indiqué dans le fichier de configuration Nginx).
test, c’est la clé de stream indiquée dans OBS.

Si tout s’est bien déroulé, vous devriez voir votre flux apparaître.

Conclusion

Il y a quelques étapes à réaliser, mais l’ensemble n’est pas si compliqué à mettre en place de mon point de vue. OBS étant capable de prendre à peu près n’importe quoi en entrée, rien n’empêche par exemple de diffuser une webcam, un ensemble de caméra de sécurité, des panneaux d’affichage ou un diaporama de photos ou de la publicité par exemple. OBS permet de gérer des scènes, mais aussi des transitions pour passer joliment d’une scène à l’autre. Chaque scène étant indépendante, il est possible de produire du contenu différent pour chacune.

Tout l’intérêt de ce mini-projet a été pour moi de comprendre comment mettre en place le serveur RTMP privé, et si on s’en tient à la base, cela a été très simple. Bien sûr, pour une utilisation en entreprise, ou dans le public, il faudra ajouter des couches de sécurité, mais cela dépasse le cadre de cet article.

Retour et avis sur Notion

Depuis quelques mois, j’utilise un outil de productivité appelé Notion. Plus qu’un simple bloc-note, Notion est extrêmement puissant et modulable. Petit retour sur ce que c’est, ses qualités et défauts, et la manière dont je l’utilise.


Notion | Notre Avis sur ce Logiciel de Gestion de Projet en 2022

Introduction

Notion est, en gros, un bloc-note sous stéroïde. Le principe de base est qu’on peut y créer des pages dans lesquelles l’utilisateur peut écrire en mode bloc (un peu comme dans un wordpress mais infiniment mieux foutu) et faire des mises en pages variées et colorées, relier les pages entre elles, faire des menus, des titres, des boutons pour faire apparaitre ou disparaitre des blocs de texte et bien d’autres choses.

Ce qui différencie Notion d’un bloc note tout bête sont, notamment, les points suivants.

Fonctionnalités

Intégration

On peut intégrer à peu près tout dans une page, du texte et des images évidemment, mais aussi des TAS d’autres outils. Du PDF lisible directement, des maps google, pour le plus trivial, mais il y a des dizaines et des dizaines d’outils. Je peux faire des graphiques avec Mermaid, je peux mettre du code dans je ne sais plus combien de langage, bref la page est organisée et comprend tout ce que tu veux. Tu peux ajouter des logos, des bannières, des émojis, faire des colonnes de taille diverses, mettre des pièces jointes, insérer des équations etc.

Il y a des raccourcis pour tout. Il comprend nativement le markdown. Par exemple, pour créer un titre 1, tu tapes # puis espace et paf tu as un titre. ## et voilà un titre 2. Pour une liste, c’est une étoile *. Je ne vais pas faire un cours de markdown ici, tu as compris. Le / permet d’accéder tout le temps à tous les raccourcis.
Étrangement, tu es limité par les couleurs un peu trop pastels à mon goût, et par les polices de caractères au nombre de 3 pour le moment.

Un exemple d’une de mes pages pour un scénario d’YxY

Base de donnée

Là, on touche le sublime. C’est la feature killer de Notion.
Tu peux créer des tables de bdd où tu veux. Chaque entrée est une page que tu peux modifier et relier à n’importe quoi d’autres. Tu peux créer des tris, des groupes et des filtres et surtout des vues que tu peux intégrer n’importe où. Tu peux les organiser en tableaux kanban, des listes, des calendriers, des timelines ou des cartes. Si tu mets des images, tu peux les faire apparaitre dans tes cartes pour que ce soit plus joli.

Exemple de base de donnée, affiché en galerie

Travail collaboratif

Le travail collaboratif est très développé. Au plus simple, tu peux partager tes pages avec qui tu veux, recueillir des commentaires ou, en allant plus loin, créer des pages ensemble, les partager à des sous-ensembles de gens, bref bosser en équipe sur une base documentaire.

C’est super, mais tu fais quoi avec ça ?

Le reste

Je ne détaille pas, mais il y a beaucoup d’autres fonctions. On peut faire des modèles de pages, on peut récupérer en un clic les modèles d’autres utilisateurs. C’est utilisable sur le web et sur téléphone. L’API est ouverte, on peut donc automatiser des accès, avec Zapier par exemple.

Cas d’usage

Eh bien absolument ce que tu veux. C’est un avantage et un inconvénient. J’ai passé les dernières semaines à regarder des tas de vidéos, pour apprendre à m’en servir, mais aussi pour voir comment les autres s’en servent.

À part en pur bloc-note ou liste de course, voici mes trois usages principaux

Gestion de projets

Pour cela je me sers de trois tables de base de données. Une table Contact dans laquelle je mets tous mes contacts pro ou perso, avec leurs coordonnées et des notes à leur sujet. Une table Projet avec la liste des projets, reliées aux Intervenants (qui sont donc des Contacts) et aux Tâches qui est ma troisième table dans laquelle je décris chaque tâche avec une date de réalisation, une priorité, des Intervenants et autres.
Ces tables sont reliées entre elles via des relations (en deux clics c’est fait) et j’ai plein de vues que j’affiche à différents endroits de mon espace de travail, à chaque fois avec des filtres différents.

Par exemple, ma table Projet contient mes projets pro et perso. Mais je fais un filtre perso pour l’afficher dans mon sous ensemble de page Perso. Idem pour le pro. C’est la même table, mais affichée différemment selon l’endroit.

Jeu de rôle

J’écris principalement YxY avec Notion. Idem, il y a de la gestion de projet, des tests, des idées, des compte-rendus de parties, des scénarios, des listes de Pnjs (sous forme de base de données, que je replace après ailleurs).

Une communauté pour YxY

Suivi des habitudes

Je viens de démarrer une petite base de données pour suivre mon fonctionnement, mon poids, mes habitudes de la journée, et me motiver à m’améliorer chaque jour. Manger sainement, gérer correctement mon sommeil, lire plus etc. Pour cela, quelques vues et modèles me permettent de suivre mon évolution chaque jour et chaque semaine.

Suivi de mes habitude

Défauts

Il y a tout de même des défauts.

Il n’y a pas de mode hors-ligne. De plus, le logiciel n’est pas open-source ni auto-hébergeable. Il y a des projets tiers en ce sens, mais pour l’instant considèrent que tes données ne t’appartiennent pas, que la société peut couler, qu’on peut tout te voler etc.
Classique, mais il faut le dire.

J’aimerais plus de personnalisation, plus de couleurs, plus de police de caractère, une meilleure gestion des colonnes (qui est déjà très bien, mais peut être améliorée). Je voudrais pouvoir encore mieux gérer les bases de données, faire des calculs et des extracts !

C’est déjà tellement génial que maintenant j’en veux plus ! PLUS !!

Conclusion

Je ne l’ai pas dit, mais la version gratuite permet tout ce que je viens de dire. Payer permet de travailler en collaboratif plus facilement, d’augmenter la taille des fichiers que tu peux importer et quelques autres trucs qui ne m’intéresse pas pour le moment.

Notion est un outil extraordinaire, exactement ce dont j’ai toujours rêvé, le remplacement de mes vieux TiddlyWiki.

Il n’est pas parfait, loin de là, et surtout il ne te guide pas. Si tu es désorganisé, tu va simplement reproduire ce mode de fonctionnement et cela ne t’aidera pas. Profites-en pour t’améliorer, comprendre comment tu peux mieux t’organiser, piquer des idées chez les autres.

Liens

Voici quelques liens vers les ressources Youtube qui m’ont beaucoup aidé.

La chaine de Shubham Sharma, un youtubeur français fan de productivité et de Notion.
Red Gregory, idem, mais en anglais, plus axé cours. Les vidéos sont plus longues et iel rentre plus dans les détails.
Thomas Frank, similaire à Red Gregory, mais en beaucoup plus pro et sur des points plus précis.

Les trois sont complémentaires, et il y a bien d’autres ressources, en vidéos ou en site web.

Café-rôliste S02E03 avec Dragan Ristic

Pour ce nouvel épisode, je reçois Dragan Ristic, actuellement membre de la FFJDR, en charge d’un projet d’envergure pour notre loisir et auteur du jeu de rôle le Fil d’Argent.

Nous parlons principalement de son jeu et de son travail à la FFJDR mais pas que.

N’hésitez pas à commenter et à partager si vous avez apprécié.



Liens

Dorothée Girot, Actrice : https://www.facebook.com/dorothee.girot

CNL : Centre national du livre

Alexandre Astier

Café-rôliste avec David Robert

Café-rôliste avec Sybille Marchetto

Sophie Briand : présidente de la ffjdr

Code Quantum

Continuum

Virtual Revolution

Bimbo

Time stories

Bureau of investigation

In Nomine Satanis

Initiative Roliste

Café-rôliste S02E02 avec Josselin Grange

Un second épisode de cette nouvelle saison de café-rôliste aujourd’hui avec un entretien, en mode chill, de Josselin Grange. Illustrateur de talent pour de nombreux jeu de rôle, chef d’entreprise et évidemment rôliste, il nous parle de son métier, de sa passion, de sa manière de jouer, mais aussi d’argent.

Cet épisode est particulier. Nous l’avons enregistré à distance, via Discord, et j’ai donc monté une chaîne Youtube spécifique pour y diffuser, pour la première, la version vidéo.

À part voir nos têtes (et c’est déjà super), la version vidéo n’apporte pas beaucoup plus que l’audio, que je mets à disposition ici même pour ceux qui ne veulent dépenser de la bande passante pour rien.

Par contre, si vous allez sur Youtube, *langage de djeun influenceur* ben vous lâchez un com, vous vous abonnez et vous cliquez sur la cloche !

Liens

Le site de Josselin

Retour sur l’Elderfest :

Le twitch de l’Elferest

Ludovox https://ludovox.fr/retour-sur-lelderf…

Jouer en ligne :

Foundry Virtual Table Top (VTT) https://foundryvtt.com/

Roll20 https://roll20.net/

Cours d’illustration :

https://digitalpainting.school/

Café-rôliste nouvelle saison, S02E01, avec Louis Brach de chez Bragelonne

C’est un jour particulier aujourd’hui. En effet, après une pause de quelque temps, je reprends enfin les café-rôliste. À l’occasion de l’elderfest, j’ai rencontré des tas de gens formidables et très actifs dans le milieu, chacun à leur façon.

Je relance donc une série de Café-rôlistes officiels sous la forme d’interview de gens de plein d’horizons.

Aujourd’hui, je suis avec Louis Brach travaillant chez Bragelonne et rédacteur en chef du site Syfantasy.

Un épisode un peu long, plus d’une heure, mais une discussion passionnante sur le milieu de l’édition vu de l’intérieur. J’espère que vous l’apprécierez !

Liens :

Syfantasy

Aria

Cat’s la mascarade

Rocambole (devenu l’application Doors)

La déconnexion de Ploum

Le carnet en peau de dragon

Retour sur l’Elderfest

Il y a quelques jours se tenait l’Elderfest, une sorte de miniconvention organisée par la société Eldercraft et son patron Sébastien Moricard.

J’ai eu la chance d’y être invité, et même placé sur le devant de la scène pendant un moment puisque l’ensemble des annonces ont été diffusées en temps réel sur Twitch, sur la chaîne de Fibretigre, et j’ai pu m’y présenter, et présenter Ludovox. Merci à Sébastien pour ce moment dans la lumière.

On y a parlé principalement d’Aria, le monde de FibreTigre dont le jeu de rôle éponyme est le produit principal de l’éditeur, mais aussi d’Oreste, et d’autres annonces, dont certaines assez surprenantes (dans le sens heureux du terme).

Enfin, j’ai aussi pu remettre un pied et demi dans le monde du jdr, enchainant en seconde partie, beaucoup de rencontres avec des personnalités de divers horizons, jeu de rôle, podcast ou encore littérature fantastique.

Aria

FibreTigre est le créateur de cet univers de fantasy, où, contrairement à la plupart des jeux du genre, les personnages doivent résoudre les problèmes pacifiquement. Le jeu est prévu pour être joué facilement et mettre en place des aventures au niveau plus humain, loin des combats de dragons que les donjonistes connaissent bien.

Ce monde se développe aussi grâce aux équipes de Game of rôle, une bande d’aventuriers dont les histoires sont diffusées sur Twitch depuis 2018. Le succès est immense et des milliers de spectateurs viennent régulièrement regarder l’émission qui en est à sa cinquième saison. Un spin-off a même été réalisé par le site Madmoizelle.

Eldercraft produit ses jeux en utilisant systématiquement le financement participatif, pour des raisons marketing, de production, et gestion qu’il serait difficile de tenir autrement et Aria, en 2020 est le second plus gros succès français sur Ulule.

Sébastien en parle avec moi là :

Elder Fest : présentation des sorties Elder Craft / Aria / Game of rôles ! – fibretigre on Twitch

Il est amusant de constater que des gens comme Clément Viktorovitch vient de lancer une campagne sur sa propre chaine, et que le célèbre M. Le prof est un des auteurs important du jeu.

Et à part ça ?

Eldercraft produit d’autres univers comme celui d’Oreste, décrit par l’éditeur comme une sorte de Warcraft dans l’espace, du space-op avec des tas de races, mais la particularité de n’autoriser, toutefois au début du jeu, que des personnages humains. Il s’agit d’un jeu à secret, et la proposition est que les joueurs et les personnages débarquent dans l’univers avec le même niveau minimal de connaissance.

Il y a aussi deux autres produits, dit RPG-book, l’un ayant pour thème Cthulhu, et l’autre l’espace infini appelé Exil. Ces livres sont des hybrides de livres dont vous êtes le héros pouvant être joué seuls, ou à plusieurs (jusqu’à 4) mais ils sont aussi adaptables en jeu de rôle ! Trois en un !

Pour avoir testé celui sur Cthulhu, je dois avouer avoir été agréablement surpris par le système de jeu simple, et surtout, surtout, l’écriture qui m’a très rapidement embarqué dans l’aventure. J’ai hâte de faire le second !

Pour l’ensemble des produits, je dois dire être impressionné par la qualité qui s’en dégage. Aussi bien des illustrations réellement inspirantes, que des textes ou même les objets en eux-mêmes, particulièrement réussis.

Bon, super, mais les annonces alors ?

J’y viens !

Lors de l’Elderfest, plusieurs annonces ont été faites. Aussi bien dans les games Game of rôle , qu’Oreste mais l’annonce la plus importante, à mon sens, est le retour des Lames du cardinal.

Dans ce jeu, inspiré de la série de romans de Pierre Pevel, le cardinal de Richelieu monte une équipe de mousquetaires entraînés, des sortes d’agent secret, dont le but est de combattre la menace Dragon. En effet, ces derniers existent et se mêlent à la population, cherchant à prendre le prendre dans les différentes cours royales d’Europe.

La première édition du jeu a été édité en 2014 par Sans-détour, qui n’existe plus aujourd’hui mais son auteur principal, Philippe Auribeau, a proposé à Eldercraft de l’éditer et ils ont accepté. Un financement participatif devrait apparaitre d’ici à quelques semaines ou quelques mois mais, et c’est important, la quasi-totalité des textes sont déjà prêts ! Les illustrations seront réalisées par Loic Muzy, une patte graphique exceptionnelle, déjà à l’œuvre depuis longtemps sur la gamme Cthulhu de Sans-détour.

On espère simplement que cette fois, le système de jeu deviendra meilleur, le premier n’étant, à mon avis, pas suffisamment abouti.

Enfin, notons qu’un jeu vidéo dans l’univers d’Aria est en préparation, mais je n’en sais pas plus sur le type de jeu ou ce qu’on devra y faire.

En vrac

  • De nouveaux illustrateurs ont été recrutés, Morwen Cloastre, Valentin Borowczyk et Paul Ferret. Ils travailleront sur les projets Hydre, 1979, Immersion et un autre projet, non encore annoncé.
  • Un magasin de goodies ouvrira bientôt : L’elder gear store.
  • Un bd dont vous êtes le héros chez Malaka Edition, dessinée par Waltch et scénarisée par M.Le prof (qui va sans doute arrêter d’enseigner à ce train-là)
  • Des outils spécialisés, comme une scénariothèque centré sur Oreste et Aria : http://oreste.onirim.fr ou un VTT (virtual table top) https://praythedice.com
  • Un roman dans l’univers d’Aria.
  • Un jeu de carte dans l’univers d’Aria.
  • Hydre, un jeu de rôle de chasseurs de monstres.
  • 1979, un jeu de rôle d’agent secret.
  • Immersion, mi-jeu de rôle, mi-jeu de société, et re-mi jeu de rôle derrière. On n’en sait pas plus, mais je vais suivre de près les annonces, étant particulièrement intéressé en ce moment par les jeux de société proposant des expériences jeu de rôle.

Conclusion

À titre personnel, le succès d’Aria me fait grandement plaisir et sa visibilité énorme sort du cadre des simples rôlistes pour toucher une partie sensible du grand-public. Les rôlistes sont aujourd’hui aux manettes d’une partie très importante de l’industrie du divertissement, qu’il s’agit du jeu vidéo évidemment dont on s’est emparé très tôt, mais aussi du cinéma avec de nombreux acteurs avouant leur passion rôliste, problématique il y a 20 ans, mais extrêmement mise en avant aujourd’hui, sans parler des séries TV comme Big Bang Theory ou évidemment Stranger Things qui le montre très directement.

Chaque année, ‘on’ annonce la mort de jeu du rôle. Le jeu de rôle ne meurt pas, il se transforme et sa vitalité est plus grande que jamais.

Merci encore à Sébastien et Eldercraft et je leur souhaite un grand succès pour leurs prochaines campagnes !

Cet article a d’abord été proposé sur Ludovox.

Installer les drivers d’une clé Wifi TP-Link Archer T3U sous PopOs! (et Ubuntu)

Pour améliorer les débits Wifi du laptop qui me sert d’ordinateur principal depuis quelques jours, j’ai acheté une clé Wifi 5 TP-Link Archer T3U (17€). J’aurais préféré une clé Wifi 6 (vu que je dispose d’un point d’accès Wifi 6 qui fonctionne hyper bien) mais ça n’existe pas encore à des prix raisonnables.
Comme un imbécile, je n’ai pas vérifié la compatibilité avec Linux, étant persuadé qu’il n’y aurait aucun problème. Raté, pas de driver officiels dispo.
Mais il y a un moyen quand même.


Il existe deux dépôts GitHub mettant à dispo ce driver, qu’il va falloir compiler. Le premier m’a fait une erreur à la compilation en allant cherche un fichier ipx.h obsolète. Je me suis donc tourné vers le second, qui dispose même d’un script facilitant l’ensemble : https://github.com/cilynx/rtl88x2bu

Ouvrez donc un terminal dans lequel vous inscrirez les commandes suivantes :

git clone https://github.com/cilynx/rtl88x2bu.git
cd rtl88x2bu
./deploy.sh

Cela va prendre quelques minutes à l’issue desquelles vous devrez probablement redémarrer.

Si cela ne fonctionne pas, il faudra probablement installer le paquet linux-headers. Généralement, je fais ceci dans un terminal :

sudo apt install module-assistant
sudo m-a prepare

Le module-assistant installera tout le nécessaire pour compiler les modules (modules ~⇒ drivers Windows)

Voici ce que j’ai maintenant dans les paramètres :

Le Intel Centrino est l’adaptateur Wifi intégré au laptop X230. Le TP-Link est la clé que j’ai acheté.
En me connectant sur mon point d’accès Wifi et en lançant un speedtest, je me retrouve avec une moyenne de 280Mbits/s en download et upload vers Internet, ce qui est TRÈS largement supérieur à ce que j’avais avant, avec pour l’instant une excellente stabilité.

Linux c’est vraiment génial, sauf quand c’est pas génial. C’est pour ce genre de connerie qu’il n’y pas plus de gens qui passent dessus, et je les comprends.
Ça me rend furax qu’une société qui produit ce genre de clé ne prenne pas un peu de temps pour proposer un driver qui fonctionne direct au branchement.

Bref, maintenant ça marche et pour un prix dérisoire j’ai largement augmenté la connectivité de mon ordi.

Mon setup Cloud Gaming headless

Mon ordinateur principal est une tour imposante, disposant d’une grosse carte graphique datant d’avant les pénuries et encore ultra puissante aujourd’hui. Elle me prend beaucoup de place dans la chambre où je l’ai placée, et j’avais tendance à me cogner dessus régulièrement. Bien que je sois un gamer invétéré depuis maintenant plus de trente ans, je me suis aperçu que je jouais à des jeux gourmands de moins en moins souvent et que mon utilisation principale était à 90% bureautique (écriture, travail, consommation de contenus simples, petits jeux).
J’ai donc décidé de déplacer ma tour ailleurs, planquée, et de me servir au quotidien de mon ordinateur portable, un Lenovo X230 sous PopOs avec 8 Go de RAM et un proc I5 d’il y a oulààà au moins tout ça d’année et lorsque me prends l’envie de jouer, j’utilise un service de Cloud Gaming personnel.


Contraintes

Mes contraintes sont les suivantes :

  • Accès au bureau et pas uniquement aux jeux
  • Rapidité de mise en œuvre
  • Client disponible sous Linux
  • Accessible en LAN et depuis Internet

De plus, le serveur n’aura pas d’écran. Dans certains cas, cela aura posé problème (résolution, couleur, performance) jusqu’au moment où j’ai branché un dongle HDMI que j’avais acquis lors d’expériences précédentes de prise de contrôle à distance (avec l’outil Deskreen). Le dongle vaut moins de 10 € sur mamazon pour la version autorisant le 4K 60Hz.

Enfin, le serveur devra être accessible via Internet, mais je ne teste pas les solutions de Cloud Gaming sur internet. Geofrce Now, Stadia et autres ne sont pas de la partie.
Lors de mes recherches, je suis tombé sur les reddits suivants qui m’ont aiguillé et donné pas mal d’information.

ParsecGaming
CloudGaming

Il doit sans doute y en avoir d’autres.

Les services

Parsec

Le serveur ne peut être que Windows ou Mac.

Le client est dispo facilement pour tout système

  • Passe par un serveur centralisé sur internet pour vérifier les connexions interne/externe.
  • Dans la version gratuite, les couleurs semblent un poil moins brillantes, moins jolies que d’origine.
  • Il y a une version payante (10$/m) pour améliorer les couleurs et deux-trois autres trucs
  • Quelques micro-saccades
  • Fonctionne avec n’importe quelle CG
  • Possibilité de mettre l’écran distant en fenêtré
  • Création d’un compte obligatoire

Parsec est un excellent service qui fonctionne très rapidement et très efficacement. La qualité est très bonne pour peu que la connexion soit de bonne qualité, à part les couleurs un poil délavée dans l’option gratuite.

Ah oui, un tout petit truc aussi, en headless (et donc mouseless), Parsec ne peut pas afficher le curseur de la souris distante. Il y a une petite astuce qui passe par l’installation d’un driver de tablette graphique (toutes les instructions sont sur leur site). Ça fait un peu verrue, mais ça fonctionne.

Moonlight

Moonlight est un client GeForce Experience libre installable sur tout système (dont Linux). Il permet d’accéder en streaming à un serveur disposant d’une CG NVidia et de l’application GeForce Experience.

  • Pas d’agent à installer sur le serveur, à part GeForce Experience qu’il faut activer
  • Par défaut ne streame que les jeux, mais il est possible dans l’application Experience d’ajouter un ‘jeu’ et de spécifier explorer.exe ou mstsc.exe pour streamer le bureau lui-même depuis lequel on peut lancer ensuite n’importe quoi, vidéo, audio ou jeu.
  • Interface du client un peu bof, traductions pas terminées, mais fonctionnement impeccable et sans micro-saccades.
  • Couleur et résolution respectées
  • Possibilité de mettre l’écran distant en fenêtré, mais c’est moins pratique qu’avec Parsec
  • Pas de création de compte
  • On peut réveiller l’ordi distant depuis l’interface !

Moonlight est aussi une excellente solution, gratuite et libre de surcroit (pour la partie cliente). L’astuce permettant de streamer le bureau est triviale à mettre en place. Les deux points un peu embêtants sont la tronche de l’interface franchement perfectible (on sent le truc d’informaticien) et le mode fenêtré moins pratique.

Rainway

Rainway est un concurrent de Parsec avec un fonctionnement similaire. Je ne sais pas si c’est moi, le temps qu’il fait, ou des problèmes temporaires, mais j’ai trouvé Rainway plus lourd et moins pratique que Parsec ou Moonlight, avec des perfs globale moins bonnes et donc un ensemble moins agréable à utiliser. En point positif, pas de client à installer, un navigateur suffit.

  • Installation d’un agent appelé Dashboard sur le serveur
  • Le Client est un simple navigateur (basé sur chrome)
  • Création de compte obligatoire (comme Parsec)
  • Perf trop faibles

Steam propose sa propre solution appelée Steamlink, dispo sur un peu tous les systèmes. Le client Linux est un flatpak qu’il faut lancer à la main, et on ne peut normalement jouer qu’aux jeux steam (même si on peut ajouter des jeux non-steam, je ne sais pas si tout est possible, notamment les jeux Epic ou Origin.)

  • Client Remote Play en flatpak
  • Ne permets pas de streamer le bureau
  • Ne permets de jouer qu’aux jeux steam
  • Un peu pénible à mettre en œuvre (un clic dans l’option sur le steam du serveur, lancement d’un flatpak Remote Link sur le client, appairement)

Mon setup et conclusion

Mon laptop X230 est connecté en CPL sur ma box pour de meilleures performances. Il est sous PopOs!, une distribution Linux proche d’Ubuntu.

Le serveur de jeu est connecté sur la box en direct via un câble Ethernet, ce qui semble être obligatoire quelle que soit la solution choisie.

Le serveur ne dispose pas d’écran, mais d’un dongle HDMI 4K/60 Hz simulant un écran physique.

Le serveur est éteint la plupart du temps, et je l’allume au besoin grâce au Wakeonlan activé dans les drivers de la carte réseau filaire. Sur le client, j’ai un simple fichier de commande contenant les instructions suivantes :

#! /bin/bash

wakeonlan 30:9C:23:B1:2B:67
ping 192.168.1.105/

J’ai choisi d’utiliser principalement Parsec pour sa rapidité et ses performances, ainsi que Moonlight en backup lorsque Parsec n’est plus accessible ce qui arrive de temps en temps, ce dernier ayant besoin d’une connexion vers internet même lorsque les deux machines sont en local.

Je suis très content de la solution globale. Les jeux sont jouables parfaitement, comme voir des vidéos ou travailler à distance sur la machine avec une latence extrêmement faible et parfois imperfectible. Je ne pense toutefois pas qu’on puisse jouer à des jeux compétitifs (Overwatch).

À part, parfois, une connexion parfois peu stable vers Parsec, peu de souci à déplorer. Le ventilo du portable fait un poil plus de bruit que l’autre machine ok.
Sinon, je gagne de la place et je dépense moins d’électricité à utiliser mon X230 toute la journée plutôt que la grosse bécane, bref bilan positif !

Activer l’accélération matérielle pour Jellyfin sur un Mele Quieter 2

Il y a quelques mois, j’ai acheté un mini PC Mele Quieter 2.

C’est une machine extrêmement compacte, mue par un processeur J4125 de chez Intel, de faible puissance, mais à la consommation très faible aussi, et surtout sans ventilateur donc totalement silencieuse. J’y ai installé plusieurs services, dont un serveur Jellyfin permettant le partage de vidéos de famille dans mon réseau interne, mais aussi externe pour que mes enfants et moi-même puissions y accéder de n’importe où.

J’y ai adjoint un disque dur externe de grande capacité branché en USB3, et un ssd Nvme interne de 1 To pour avoir un peu de place, servir de cache et de stockage pour les autres services.

J’ai découvert cet appareil grâce au site Minimachine et notamment cet article dont je remercie chaudement l’auteur.

Je ferai sans doute d’autres articles sur le sujet, mais aujourd’hui je vais me concentrer sur un point en particulier, l’accélération matérielle du décodage/encodage de vidéos.


Jellyfin est tout rouge

La machine est normalement livrée avec Windows 10, mais j’ai préféré installer une Ubuntu récente. L’installation s’est déroulée sans aucun problème, tout le matériel est reconnu et l’appareil est étonnamment efficace pour toutes les tâches que je lui demande d’effectuer.
Parmi celles-ci, la plus gourmande est sans conteste Jellyfin, et notamment sa fonction de transcodage.

Jellyfin est un serveur de média open-source, équivalent du très connu Kodi, qui permet de se construire une bibliothèque de contenu, de l’organiser en différentes médiathèques et de servir ses fichiers à, à peu près n’importe quoi, du simple navigateur internet, à la smart TV, Nvidia Shield, ou téléphone.

Lorsque le client est capable de décoder le flux, ce dernier est transmis directement. Dans le cas contraire, Jellyfin se charge de transcoder le média à la volée.
Jusqu’à peu, tout allait bien, mais récemment j’ai récupéré une vidéo de vacances encodée en 4K avec le format H265. Ce fichier comportait aussi de nombreux sous-titres, ainsi que des pistes audio 7.1.
Impossible de le lire sans saccades, coupures et gels de plusieurs dizaines de secondes.

Un btop me montre que le transcodage monte tous les cœurs du CPU à pas loin de 100% en permanence.

Je comprends alors que l’accélération matérielle n’est pas activée.

Accélération matérielle

Voici donc le résultat de mes recherches.

Le processeur vient avec une partie graphique de chez intel, le UHD 600 :

orlanth@zeus:~$ sudo lshw -c video
*-display
description: VGA compatible controller
product: GeminiLake [UHD Graphics 600]
vendor: Intel Corporation
physical id: 2
bus info: pci@0000:00:02.0
version: 06
width: 64 bits
clock: 33MHz
capabilities: pciexpress msi pm vga_controller bus_master cap_list
configuration: driver=i915 latency=0
resources: irq:133 memory:a0000000-a0ffffff memory:90000000-9fffffff ioport:f000(size=64) memory:c0000-dffff

Le driver par défaut est le intel-media-va-driver.

J’ai vu sur certains sites, que la version non-free est sans doute plus avancée. Je ne suis pas sûr que cette étape soit obligatoire, mais au cas où, j’installe cette version puis je reboote.

orlanth@zeus:~$ sudo apt search intel-media-va-driver-non-free

Ayant installé Jellyfin via docker (et surtout docker-compose), il faut impérativement passer la carte graphique du système « réel » au système du docker.
Pour cela il faut ajouter quelques lignes au fichier docker compose.

orlanth@zeus:/var/www/jellyfin$ cat docker-compose.yml
version: '3'
services:
  jellyfin:
    image: jellyfin/jellyfin
    container_name: jellyfin

    network_mode: "host"

    volumes:
    - /home/orlanth/.jellyfin:/config
    - /media/:/media
    environment:
    - PUID=1000
    - PGID=1000
    restart: always
    devices:
    - /dev/dri/renderD128:/dev/dri/renderD128
    - /dev/dri/card0:/dev/dri/card0

Il s’agit des 3 dernières lignes, devices et les deux devs.
Il faut les ajouter telles quelles.
Ensuite docker-compose down pour arrêter les services et docker-compose up -d pour les relancer.
On est bon côté système, maintenant il faut l’activer côté applicatif.

Encore quelques clics

Dans le tableau de bord de Jellyfin, il faut aller dans Lecture.

Puis Transcodage.

Dans la liste « Accélération matérielle », choisir Video Acceleration API (VAAPI).

Cocher HEVC puis descendre jusqu’au Profil d’encodage.

J’ai choisi superfast en me disant que je pouvais me contenter d’une qualité moindre, mais je ne sais pas si cela a un gros impact par rapport à fast utilisé par défaut.

Enfin ne pas oublier de sauvegarder les modifications en cliquant sur le bouton en bas de la page.

Attention à ne PAS cocher Adapter la vitesse du transcodage.

Je relance la vidéo et mon btop me montre que cette fois les cœurs du CPU ne montent plus qu’à 25% en moyenne.

L’accélération est donc bien activée !

Yeah !

À suivre

Si j’ai gagné en CPU et en chaleur, ainsi qu’en fluidité puisque j’arrive à lire un peu mieux le fichier, j’ai toujours des freezes mais beaucoup moins nombreux et beaucoup plus court.

Du coup, je peux faire deux choses.

En changeant la qualité pour quelque chose d’inférieur au 4K je réduis grandement la charge, notamment sur le réseau.

Et sinon, je fais comme sur Youtube à la grande époque des embrouilles avec Free, je lance le film, je mets la pause et j’attends une trentaine de secondes que le chargement se fasse, ensuite je suis à peu près tranquille.

En résumé, je suis toujours très content, mais je ferai plus attention au format des films de vacances que je peux trouver.